Pauline PAVEC

Carte d'identité

Pauline PAVEC

Spécialité : Art contemporain

Année du diplôme : 2019.

Si vous deviez définir l’École du Louvre en 3 mots ? 

Passion, Unique, Intemporelle.

Un(e) enseignant(e) ayant marqué votre scolarité ?

Madame Guitemie Maldonado. C’était ma professeure de spécialité Art Contemporain et m’a initié à l’art des années 1960. Grâce à elle je me suis prise de passion pour l’art minimal américain puis la scène française des années 1960-1970. 

Une oeuvre coup de coeur durant votre scolarité ?

Je sélectionnerai Cent demi-heures de dessin quotidien de Robert Malaval. Il s’agit d’un artiste que je soutiens depuis le début à la galerie, en collaboration avec ses ayants droits. J’entretiens une relation particulière avec son Œuvre car elle m’accompagne depuis ma première exposition. Cette œuvre, les Cent demie-heures de dessin quotidien, est une pièce majeure de l’artiste, exposée lors de l’inauguration de notre espace dans le marais, en février 2019. Elle se situe à un moment charnière dans son travail, elle est le point de basculement vers plusieurs années durant lesquelles il arrête de peindre pour se consacrer au son, à ses installations immersives pionnières.

Votre parcours depuis votre départ de l'École du Louvre en quelques mots ? 

Pendant mes études à l’École du Louvre, je me suis spécialisée sur la scène française des années 1960-1970. À partir de 2013 j’ai été membre active d’une association de jeunes commissaires d’expositions qui défend la scène émergente. J’ai ensuite rencontré mon compagnon Quentin Derouet, qui est artiste.

Ensemble nous nous sommes mis à organiser nos premières expositions en duo dès 2016. En 2018, nous avons crée la galerie Pauline Pavec, instalée aujourd’hui dans le marais, afin de soutenir des œuvres qui nous touchent.

Quelles sont actuellement vos missions au sein de votre galerie ?

Je me consacre entièrement à la galerie. C’est un travail quotidien, surtout avec les ayants droits des artistes historiques avec qui nous travaillons, comme Jacques Prévert, ou les jeunes artistes que nous tentons de soutenir, comme Mathilde Denize qui sera l’année prochaine pensionnaire de la Villa Médicis.

Quel(s) conseil(s) donneriez-vous pour les jeunes diplômé(e)s ? 

Je conseillerai aux jeunes diplômé(e)s de l’École de Louvre de multiplier le plus tôt possible les expériences professionnelles ainsi que les projets personnels et aussi d’être audacieux !

Pour en savoir plus sur la galerie Pauline Pavec :

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